VOUS ÊTES SAINT LAURENT DE MURE

RESPECTONS NOTRE VILLAGE

  

La propreté de notre village est l'affaire de tous ! Protégeons notre cadre de vie ! 


Pour information et après renseignement pris : Jeter ou abandonner vos déchets dans la rue fait l'objet d'une amende pénale !  Si vous déposez, abandonnez, jetez ou déversez tout type de déchets sur la voie publique en dehors des conditions fixées par arrêté, vous risquez une amende forfaitaire. 

 ANNONCE !


NOTRE ASSOCIATION

Association Loi 1901 
 n° SIREN : 910358548

 n° RNA : W691104204 


"VOUS ÊTES SANT LAURENT DE MURE"

Créée le 10 décembre 2020

VOTRE COLLABORATION ? 


Il est toujours plus facile de faire du bon travail  lorsque tout le monde s'y met et lorsque l'on est attentif à la parole de chacun !

Vous désirez participer ? n'hésitez pas à nous adresser vos anecdotes, vos photos, vos souvenirs pour publication : nous le ferons avec le plus grand soin.

mail : [email protected]

Tout dans la vie est une question de temps !

 Le saviez-vous ? Un astrologue sur notre village !

 L'astrologie fut pratiquée en Mésopotamie dès 2500 avant J. -C. par les Chaldéens, sans doute les premiers à rechercher des correspondances explicites entre événements célestes et terrestres. ..

Souvenirs... Souvenirs... 

 

Nous avons retrouvé grâce à nos sources une poésie patriotique  copiée sur le cahier d'école d'une élève de St Laurent en 1915.   Il faut se resituer dans l'ambiance de l'époque !   Les Français, nourissaient avant 1914, une vélléité de reprendre nos territoires perdus d'Alsace-Lorraine, c'est pourquoi dans chaque logis trônait une glorieuse image de nos soldats, face aux Allemands ! 

Souvenirs d'un enfant du pays ...

Yoplait, La Rosière, les Laiteries du Sud-Est et  Marcel BACCONNIER : 

  " Ma famille a vécu quasi au quotidien avec Marcel Bacconnier, puisqu'il était administrateur des Laiteries du Sud-Est, où  mon père fut employé durant 35 années... 

En 1952, quand on allait à l'école avec nos tabliers pour ne pas salir nos vêtements... car à cette époque-là, la machine à laver était chose rare... et on prenait soin de nos habits ! 


  

En feuilletant de très très très vieux journaux, on découvre que le 22 avril 1850  «  un détachement de dragons s’est rendu à Saint-Laurent-de-Mure (Isère), pour y aider l’autorité dans la dissolution d'un club cramoisi, organisé et présidé par un vétérinaire de l’ endroit. On devait arrêter aussi quelques-uns des plus fervents sectaires de cet apôtre de la démagogie. ».

Difficile de comprendre ce qui s’est passé ce jour là car on ne trouve trace de ce fait divers nulle part… 

Mystère et boule de gomme !  

 Source : Journal quotidien : la gazette du bas-languedoc n° 126 

  "Un jour que je serai vieille  Et que j'aurai tout oublié
Comme on jouait à la marelle Et à la corde à sauter, mais
Je me souviendrai toujours d'elle Comme d'une gentille fée Ma maîtresse de maternelle, Mme Lacarelle "

  Une bien belle famille qui pose pour une bien belle photo...
On reconnaît donc M. et Mme Copy avec leurs enfants Jean-Marie,  Sylvain  et André...

"A l'école quand j'étais petit, j'étais constamment puni, un beau jour je me suis dit ça ne va plus ainsi ..." Petit air d'une vieille chanson des années 1950 ! Et voilà Mme Elsen, une maîtresse bien appréciée des petits...

CONNAÎTRE L'HISTOIRE EST UNE VRAIE RICHESSE ! 

 ASSOCIATION DES FAMILLES DE NOTRE VILLAGE 

 

Lors de la seconde guerre mondiale, un nombre sans précédent de familles sont disloquées. Alors que l’Empire nazi s’écroule, des millions de personnes sillonnent le continent à la recherche de leurs proches.

La reconstruction des familles est rapidement devenue synonyme de survie de la civilisation européenne. 

Sous l’invite « Qui connaît nos parents et nos origines ? », les visages  de milliers d’enfants ornent les affiches de la Croix-Rouge...

  LA ROUTE NATIONALE 6 

 

Pourquoi a-t-on un dénivelé aussi important entre certains trottoirs et la RN6 ? 

En fouillant dans leur mémoire, certains anciens ont pu revivre de vieux souvenirs.

En 1928 il fut décidé de couler du béton sur cette chaussée pour pouvoir faire circuler les voitures, alors peu nombreuses. 

Les travaux commencèrent à Bourgoin, et en 1931 la chaussée fut bétonnée dans la traversée de Saint-Bonnet et de Saint-Laurent-de-Mure… car oui, nos voisins Murois ont le même problème. 

  

DES HOMMES... 

Sur le journal officiel de la République française en date du 19 novembre 1938, nous lisons que le Président de La République, sur le rapport du ministère de l’Intérieur, a décidé de décerner la médaille d’honneur avec Rosette aux sapeurs-pompiers qui se sont distingués dans l’exercice de leurs fonctions. E n parcourant ces pages, quelle n’est pas notre surprise de retrouver dans cette liste Jean-Baptiste COPY, sous-lieutenant à Saint Laurent de mure, ayant reçu la Médaille d’Argent… ainsi que Louis BAILLY, belle surprise… mais pas d’explicatif qui fait état de son acte. 

  

DES PÂTURAGES DU PLÂTRE...  AU GYMNASE ANDRÉ MALRAUX ! 


Le gymnase a été construit dans les années 80...

On voit sur la  photo Monsieur Henri Rambaudi, ancien champion d'athlétisme et président du SIM de l'époque, et Martine David députée qui inaugurent les nouveaux bâtiments, bâtiments qui serviront entre autre aux élèves du collège Louis Lachenal... 

 Il y a déjà quarante ans !!! 

  

NOTRE VILLAGE AUTREFOIS 

La richesse de nos sous-sols....  Encore une petite trace retrouvée dans une vieux journal : 

 le "Mémorial de la Loire et de la Haute-Loire"  du  19 septembre 1915  qui explique que M. Marcel Holtzer, administrateur de la Société Minière des Bassins du Rhône, sollicite une concession minière sur notre village et les villages alentours.

On vous laisse en prendre connaissance...

Pour précision, le prix de ce journal à l'époque était de 5 centimes d'anciens francs ou 1 sou !  Un franc de 1900 valait 20 sous... soit 3.27 euros d'aujourd'hui .. donc notre journal de 1915 coûtait en fait  16 centimes d'euros ..

Et voilà, les temps changent !!! 

Le collège Lachenal

Le collège Louis Lachenal a ouvert ses portes en février 1980, après une rentrée en septembre 1979 dans des locaux scolaires provisoires de Saint Laurent de Mure. 

Puis, quelques années plus tard, les effectifs devenant de plus en plus élevés, un bâtiment neuf comprenant de nouvelles salles a été construit et l’ancien bâtiment a été restructuré...

ORPHÉON ! 

  

Souvenez-vous, on vous avait parlé des formations  musicales de notre village, et notamment de l’Orphéon…   L’Orphéon qui avait été fondé en 1880 était une chorale à quatre voix 

 

EN 1877, IL Y EUT 18 NAISSANCES SUR NOTRE VILLAGE....

En voici la preuve en image... Encore des noms de famille qui nous parlent : 
BROCHIER, CUMIN, GUICHERD, REY, PRUDHOMME, PAYET, BARIOZ, FOURNIER....
on vous laisse prendre connaissance des noms... 
 

 

Qui remue le passé perd un œil ; qui l'oublie perd les deux !!! 

Notre histoire : Louis FENOUD, maire du village

 Une petite recherche nous a permis de retrouver Louis FENOUD, ancien maire de la commune de 1925 à 1943.

 

Le saviez-vous ? 

  L'inauguration de la ligne de Lyon à Bourgoin  ! - Gazette de l'industrie et du commerce de Lyon : dimanche 4 juillet 1858 n° 174 

"Un train spécial attendait à la gare de Perrache les invités de Mr le Duc de Valmy, président du conseil d'administration de la compagnie des chemins de fer du Dauphiné. 

Hôtel de Savoie...

 Les temps changent... les gens changent...  

Un univers qui change, un monde qui grandit

Utilisons notre sourire pour changer le monde et 

N'attendons pas que le monde change notre sourire...

Patois laurenais

Autrefois, on « gabouillait » sur notre village… oui, oui, paroles d’anciens, « du temps où la fontaine fluait » ! 

En Patois on retrouve le mot « gabolli »,  origine sans doute du latin « bullare »  bouillonner et du préfixe péjoratif ga-

Mur du Vingtain

Les travaux entrepris depuis plusieurs années se poursuivent... hâte de voir ce beau témoignage de l'histoire du passé de notre village remis en état !

Ah l'Amour...

 Une belle petite carte postale de notre village envoyée par une amoureuse à son amoureux qui lui écrit plein de belles choses !

A cette époque-là (fin 19è et début 20è) les messages ne s'écrivaient pas forcément au dos de la carte, mais directement sur l'image...

On vous laisse apprécier le message 

 Le mas Gervais Pallard & Billon 

 Définition Billon ou, billomagus : marché Gaulois, qui serait plus approprié, vu la proximité de l'antique voie de Lyon à Milan ( Rue V. Broizat), près duquel on a trouvé des traces de fondations pour poteaux de bois ; et autre pierre monumentale avec traces de foyers, examiné en son temps vers 1955, par l'abbé SAGE de St Bonnet de Mure .... 

 Encore une vieille carte postale, pleine de charme et de souvenirs... Le café-Coiffeur jeux de billard, limonadier,  tenu, par le couple Maurin (Mme Maurin était coiffeuse).

Ont succédé sur cet emplacement notamment la supérette l'économique et la boulangerie Fournand.

 Chaque homme et chaque femme peut laisser une empreinte, une trace, un souvenir de son passage qu'il sera parfois difficile voire impossible d'effacer,   même avec le temps... et notre château delphinal en est bien la preuve...

"L' enthousiasme fait d'un homme de rien un grand homme !"

Sur cette belle carte postale, vous apercevez sur la gauche le café Rey sur l'allée des Platanes, maison de Colette Leroux . 

Devant le café, il s'agit de Mademoiselle Rey ; pour compléter ces informations, sachez que son unique frère est le premier Mort pour la France de la commune pendant la 1ère guerre mondiale.


Des petits musiciens en herbe.. toujours prêts à jouer simplement, par amour de leur instrument et parce que l'amitié est au rendez-vous !

 

La plus ancienne cloche de notre église remonte à 1828 : elle mesure 99 cms de diamètre et donne le « SOL ». Son parrain fut Alphone COCHE, maire de notre village et sa marraine Sophie REYRE, son épouse. Le curé de l’époque est Auguste OLAGNIER…

 


Une très ancienne photo de 1908 : des écolières très sages, obéissantes et très bien coiffées...

Le quartier du Pavé : 

  Le Pré du Pont et la rue de l'égalité.

  Sur le cadastre ancien, le Pré du Pont désigne approximativement 
un triangle :                                  
- Au couchant, de la Mairie avec chemin tendant jusqu'à l'église ; c'est à dire la rue George Pilet. 
- Au sud , rue de l'église avec chemin tendant jusqu'à la route d'Heyrieux, quartier du Couloud.

- Au nord ,  la route d'Heyrieux. ...

Nous aimons notre travail et ce que nous faisons : cette phrase correspond bien à Madame Elsen, une maîtresse adorée par ses petits et qu'elle leur rendait bien ! Photo de classe de 1981 

  LE VILLAGE DEMEURE, ET IL RESTE QUELQUE CHOSE DE CHACUN, ACCROCHÉ AUX COLLINES, AUX ARBRES ET AUX CHAMPS DE BLÉ ...

 L'avenue Victor Hugo se trouvait pas très loin de l’église : cette rue s’appelle maintenant la rue du Docteur Vacher . Le nom de Victor Hugo avait certainement été attribué à cette artère après le décès de l’écrivain en 1885 : en ce temps-là, les noms des rues étaient significatives, soit des personnages connus, soit des personnalités locales.

Cette rue a été aussi appelée rue de l’Ecole en raison de l’école privée qui existait à la place de l’annexe de l’école maternelle  avant d’être rebaptisée pour valoriser le médecin du village, dont nous vous parlerons dans une prochaine publication.

En 1885, les platanes étaient frêles encore, et il n’y avait pas de lignes électriques non plus ! Photo datant approximativement de 1900 

Autrefois, c’est-à-dire bien avant que l’eau n’arrive au robinet de chaque foyer, les fontaines publiques étaient avec les puits et les cours d’eau les seuls lieux d’alimentation en eau potable.

Tous les villages avaient au moins une fontaine sur la place, où l’on se rencontrait à l’ombre des platanes, non loin des commerces et des cafés. 

Giono, Pagnol et tant d’autres écrivains du sud ont décrit la magie de ces fontaines, de leur fraîcheur et de leur chanson permanente. 


Aujourd’hui, si les fontaines ont perdu leur usage domestique, elles n’en restent pas moins des éléments appréciés du patrimoine communal. 

 

LES BANDITS EN 1798 à St Laurent de Mure ! 

  Les fameuses bandes de brigands du XVIIe et du XVIIIe siècle ont fleuri en temps de paix comme en temps de guerre, même s’il est vrai que les misères de la guerre (et de l’après-guerre) ont souvent provoqué une sévère dislocation dans la vie des jeunes et un déséquilibre économique n’épargnant personne....